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Chanson de la belle
Sous un pêcher en fleurLa belle s'est assise,La belle qui est tristeQui n'a pas d'amoureux,Qui n'a pas d'amoureuxPour lacer sa chemise.Sous un pêcher en fleurLa belle entend la neigeLa belle entend la neigeQui tombe dans son cœur.Ne pleurez pas la belleL'amour rend malheureux.J'aimerais mieux souffrirA cause des amours,J'aimerais mieux souffrirQue d'être là seuletteA voir tomber la neigeDans un pêcher en fleur.Recopiée d'après l'ouvrage de Jean Rousselot, Maurice Fombeure, éd. Seghers, 1957, p. 117.© Tous droits réservés.
Sorti de nos cartons, ce texte est susceptible de retenir l'attention des passionnés de littératures orales...
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Explorations et voyages scientifiques de l’Antiquité à nos jours,
sous la direction de Christiane Demeulenaere (130e congrès national des sociétés historiques et scientifiques, La Rochelle, 2005).
Le mot « explorateur » a fait son entrée dans le Dictionnaire de l'Académie française en 1718. Cependant, les premiers voyages d'exploration remontent au moins à l'Antiquité. La curiosité a de tout temps poussé les hommes à se mettre en quête d'une réalité qui leur était encore inconnue, mais qu'ils pressentaient.
La tradition classique abonde de récits plus ou moins mythiques attestant que l'ambition d'élargir les limites du monde connu a conduit les Anciens à entreprendre des navigations parfois périlleuses. L'esprit de découverte s'est perpétué et développé à travers les siècles, notamment dans le cadre des grands voyages d'exploration de l'Âge classique et du Siècle des lumières. C'est un véritable âge d'or pour les voyageurs savants, philosophes et des voyageurs-naturalistes, désireux de collecter des savoirs nouveaux.
Le XIXe siècle a vu les explorateurs s'élancer à la conquête des larges taches blanches que comportaient encore les cartes ; en Afrique, en Asie et en Amérique, s'ouvrent de vastes champs à leurs curiosités. En même temps, l'intérêt des voyageurs-explorateurs s'élargit plus systématiquement de la connaissance des faits de nature à celle des hommes et de leurs mœurs.
Collection : CTHS Histoire
15 x 22 cm, 622 p., ill. noir et blanc
ISBN : 978-2-7355-0681-1
2008 - prix 35€
http://cths.fr/ed/edition.php?id=4272
Parution de Rabaska (vol. 6, 2008, 283 pages), revue d’ethnologie de l’Amérique française (avec comité scientifique international).
C’est encore une fois avec un très grand plaisir que j'ai pris connaissance de ce nouveau Rabaska (vol. 6, 2008), au caractère hautement collectif, riche de plus de soixante contributions présentées sous les rubriques principales : Étude, Terrains, Portrait, Place publique, Comptes rendus, Annuel (mémores et thèses).
Les amateurs d'Art brut, trouveront le compte rendu de l'ouvrage de Valérie Rousseau:Vestiges de l'indiscipline: environnements d'art et anarchitectures, publié par le Musée canadien des civilisations.
Rappelons que Rabaska est publié sous la direction de Jean-Pierre Pichette :
Chaire de recherche du Canada en oralité des francophonies minoritaires d’Amérique (COFRAM)
Centre acadien, Université Sainte-Anne
Pointe-de-l’Église, Nouvelle-Écosse (Canada) B0W 1M0
Toile : www.usainteanne.ca/cofram
P.S (NDLR): Rabaska a maintenant intégré le portail Érudit, ce qui signifie que tous ses volumes à venir seront disponibles en ligne. Présentement, le volume 5 est accessible aux abonnés depuis la fin d’octobre et ce volume 6 le sera au cours de l’année. La Société québécoise d’ethnologie songe aussi à rendre disponible les volumes antérieurs (1-4) de la même façon.